Hommage
Olivier,
Ces jours où règne l’ambiance de ton absence, je respire difficilement...
Je dépose mes larmes jusqu’à noyer ma peine et la justesse de nos souvenirs, de chaque instant précis, délicat, et sage.
Pour les rendre au goût de l’infini, au parfum de l’absolu.
Exclusivement, jusqu’à la nuit des temps.
Je garde les mains creuses et te souhaite un voyage douceur, une paix profonde, plus profonde que l’océan.
Mon ami poète, à dans une autre vie.
Là où reflète l’éternité.
Stephanie Cayla de Guiry- 30-04-18